accueil

index

Albuquerque

Aliénor d'aquitaine

Al IDRISI

Amalfi

la petite armenie

astrolabe

Bateaux du Nil

martin behaim

Boussole

le cacao

Calicut

Cadix

La caravelle apparaît sous sa forme première dès 1435

Carraques ou Naos en PortugaIS

carte des villes de la Hanse et des foires

la cartographie

les changement économiques

Les changements profonds des réseaux commerciaux en flandre

Chypre

cOMMERCE  L'aFRIQUE

commerce lubeck

Grâce à leurs activités militaires le commerce basque

Du concept géographique de l'atlantique

le commerce passe aussi par alger, bougie, corfou ,tunis valence,oran

 commerce ANVERS

 commerce Bruges

LE COMMERCE EN EUROPE CELUI DU VIN

commerce hollande

commerce belgique

commerce pays bays

commerce du Nord

commerce marseille

Le Siècle ducommerce en espagne

Les produits alimentaires et le vin  au maghreb

commerce en mediterranee

commerce au perou

COMMERCE PORTUGAIS

LE COMMERCE EFFECTUE PAR LES JUIFS

commerce a venise.

commerce de 1050  a 1300

Le compas est un instrument de navigation  direction

la corse

Droit de traite levé à Bordeaux sur les vins et eaux de vie

la crete

Voyage de Christophe Colomb

economie florissante

empire byzantin

espionnage

Francisco pizzaro

Les épices à la conquête de l'europe

florence

hereford

Jacques Cartier

Jacques Cœur

JE PARLE LE FRANCAIS

Du sud de la péninsule ibérique à la Norvège

La foire

folies du sucre

la peste

la poudre

le cumin

Le loch

lexique

Le terme de Lombarz désignait des étrangers au royaume de France

commerce épices 2

Livres Bibliothèque

gaete

galeres

genes

DE 1552 A 1555 la guerre en mediterranee

la Grèce

JE PARLE LE FRANCAIS

Jacques Cœur

La marine minoenne

la peste

LIENS POUR VOUS FAIRE DECOUVRIR DES AUTRES SITES

Chaque royaume dispose de sa monnaie

les mutations economiqies

Les Navires Européens

Les historiens et marco polo

navires en mediterranee

navire romains

Du sud de la péninsule ibérique à la Norvège

DE NOUVELLES ROUTES

JE PARLE LE FRANCAIS

 

Le devisement du monde

Illustration du livre le "Devisement du monde", BNF

Du fait des "croisements" entre familles royales, et autres mariages d'intérêts, le français devient langue usuelle de manière très géographiquement étendue. Encore à l'époque de Christophe Colomb, au XV-XVIème siècle, le français était parlé en France (certes) mais aussi en Italie, et en Angleterre !

http://marcopolo.mooldoo.com/?f=TheBook


Le français est une langue romane. Sa grammaire et la plus grande partie de son vocabulaire sont issues des formes orales et populaires du latin, telles que l’usage les a transformées depuis l’époque de la Gaule romaine. Les Serments de Strasbourg, qui scellent en 842 l’alliance entre Charles le Chauve et Louis le Germanique, rédigés en langue romane et en langue germanique, sont considérés comme le plus ancien document écrit en français.

     Au Moyen Âge, la langue française est faite d’une multitude de dialectes qui varient considérablement d’une région à une autre. On distingue principalement les parlers d’oïl (au Nord) et les parlers d’oc (au Sud). Avec l’établissement et l’affermissement de la monarchie capétienne, c’est la langue d’oïl qui s’impose progressivement.

     Mais on peut dire que la France est, comme tous les autres pays d’Europe à cette époque, un pays bilingue : d’une part, la grande masse de la population parle la langue vulgaire (ou vernaculaire), qui est aussi celle des chefs-d’œuvre de la littérature ancienne (la Chanson de Roland, le Roman de la rose...) ; d’autre part, le latin est la langue de l’Église, des clercs, des savants, de l’enseignement, et c’est aussi l’idiome commun qui permet la communication entre des peuples aux dialectes plus ou moins bien individualisés.

     Malgré la progression continue du français, cette coexistence se prolonge jusqu’au XVIIe siècle, et même bien plus tard dans le monde de l’Université et dans celui de l’Église.

’extension de l’usage du français (et, qui plus est, d’un français qui puisse être compris par tous) est proportionnelle, pour une large part, aux progrès de l’administration et de la justice royales dans le pays. Inversement, l’essor de la langue française et la généralisation de son emploi sont des facteurs déterminants dans la construction de la nation française.

     Deux articles de l’ordonnance de Villers-Cotterêts, signée par François Ier en août 1539, donnèrent une assise juridique à ce processus :

     Article 110 : Afin qu’il n’y ait cause de douter sur l’intelligence des arrêts de justice, nous voulons et ordonnons qu’ils soient faits et écrits si clairement, qu’il n’y ait, ni puisse avoir, aucune ambiguïté ou incertitude, ni lieu à demander interprétation.

     Article 111 : Et pour ce que telles choses sont souvent advenues sur l’intelligence des mots latins contenus dans lesdits arrêts, nous voulons dorénavant que tous arrêts, ensemble toutes autres procédures, soit de nos cours souveraines et autres subalternes et inférieures, soit de registres, enquêtes, contrats, commissions, sentences, testaments, et autres quelconques actes et exploits de justice, soient prononcés, enregistrés et délivrés aux parties, en langage maternel français et non autrement.

     Ainsi la vie publique du pays était-elle indissociablement liée à l’emploi scrupuleux (afin de ne laisser « aucune ambiguïté ou incertitude ») du « langage maternel français ». Ce texte fondateur doit être rapproché de la Deffence et Illustration de la langue françoyse (1549). Le manifeste du groupe qu’on appellera plus tard la « Pléiade » proclame, exactement dix ans après l’ordonnance de Villers-Cotterêts, l’excellence et la prééminence du français en matière de poésie. On le voit, l’attachement résolu à la langue française répond à une exigence à la fois politique, juridique et littéraire.

     C’est la même exigence qui conduit à la création de l’Académie française en 1635. Selon les termes de Marc Fumaroli, Richelieu a fondé l’Académie pour « donner à l’unité du royaume forgée par la politique une langue et un style qui la symbolisent et la cimentent ». Ainsi, l’article XXIV des statuts précise que « la principale fonction de l’Académie sera de travailler avec tout le soin et toute la diligence possibles à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et les sciences ».

http://www.academie-francaise.fr/langue/index.html


 

lingua franca

(de l'italien, « langue franque »), dialecte (idiome, jargon, sabir) utilisé comme moyen de communication dans les ports méditerranéens, par les marins et par les marchands depuis le Moyen Âge, jusqu'au XIXe siècle. La lingua franca était alors fondée sur certains dialectes côtiers de la péninsule italienne avec des apports de mots espagnols, français, grecs et arabes. On trouve dans ce langage une grande quantité de mots d'origine génoise. On pense que Colomb connaissait cette langue des marins et à utilisé dans ces écrits de nombreux mots provenant de ce langage. Dans les textes de Colomb on trouve des mots espagnols italianisées et des mots génois "hispanisés"... ainsi que de nombreux mots d'origine arabe, écrits dans ce sabir. Sa façon d'écrire rendait, et rend encore, certains de ses écrits totalement incompréhensibles à certaines personne qui ne connaissent pas cet idiome. Certains des critiques modernes en ont profité pour considérer Colomb comme inculte puisque incapable d'écrire correctement les langues connues... connues par eux qui n'étaient pas des marins !

Tout au début, ce vernacle fut nommé Franc par les premiers savants à le mentionner (1475-1671): les ambassadeurs Vénitiens Contarini et Bernardo ainsi que les réligieux Haedo, Dan et Luca di San Giovanni. Puis, surtout entre les voyageurs anglophones il prit le nom de Lingua Franca (1670-1891: Covel, Barbot, Norden, Playfair, Grion.) Pendant son âge d’or les écrivains français le nommèrent Langue Franque (1731-1912: La Condamine, Varnier, Faidherbe, Cohen.) Après la conquête de l’Algérie, et uniquement dans ce contexte l’on se réfère au Sabir (1884-1968: Faidherbe, Reclus, Galland, Perego, Martinet.)

D'aprés : LA LINGUA FRANCA, une langue méditerranéenne à travers les siècles,  par Roberto Rossetti [Université de Nantes, 22/23 Avril 2002,  Chaire Du Bellay de l’Académie de  la Méditerranée].

http://www.cristobal-colon.net/doc/glossaire_g_l.htm

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
.

accueil

index

la rochelle

HENRI LE NAVIGATEUR

les ottomans

Les premières découvertes

les Pheniciens

le progres

les grandes decouvertes

Magellan navigateur portugais

MARCO POLO

martin de tyr

mercator

mots du nord

navigateurs moins connus

Les navires germaniques

Le navire corsaire était un bâtiment marchand

 la navigation

les pays bas et leurs debouchés

parfums

PHILLIPPE 1er Né vers 1052

LA TABLE DE PEUTINGER

Pise

plantes venues des pays découverts

La poudre

les progrès des échanges

LES PROGRES DANS LE DEVELOPPEMENT DES VILLES ET DES CAMPAGNES

les armees

Quadrant

Robert Guiscard

saintonge

situation en europe 1

La fin de la grande prospérité urbaine  et La dépression de la fin du Moyen Age

Techniques et aspects des échanges

tripoli

Tristan da cunha

tunis

venise 1.

venise et genes

venise et son  arsenal

Venise et les Turcs

Les techniques bancaires se mettent en place et on aime aussi les festins

Jean de Verrazano ou Giovanni da Verrazano

les Vikings

les voiliers