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L'Antiquité et notamment la période romaine allant des derniers siècles de la République à la fin de l'Empire, reste la période la plus étudiée en raison essentiellement de la fréquence des découvertes. Ces recherches qui s'inscrivent aujourd'hui dans une problématique bien définie, permettent d'affiner notre connaissance des navires de commerce romains et en particulier de l'évolution des techniques de construction vers la fin de l'Antiquité

Le nom phénicien leur a été donné par les Grecs qui faisaient ainsi allusion à leur faculté à produire de la pourpre, qui se dit phoinix en grec. Ce nom évolua en latin en Punicii d'où le nom des guerres puniques.

Le territoire de la Phénicie correspond au Liban auquel il faudrait ajouter certaines portions de la Syrie, d'Israël et de la Palestine.

D'origine cananéenne, les Phéniciens étaient un peuple antique d'habiles navigateurs et commerçants. Partis de leurs cités-États en Phénicie, ils fondèrent dès - 3000 de nombreux comptoirs en bordure de la Méditerranée orientale, notamment Carthage (en - 814). Rivaux des Mycéniens pour la navigation en Méditerranée à l'époque archaïque (IIe millénaire av. J.-C., les Anciens s'accordèrent cependant à dire qu'ils furent les meilleurs navigateurs de l'Antiquité.

Nous connaissons peu de chose sur la flotte phénicienne et les représentations de leurs navires sont rares. L'une d'elles provient de la fresque d'un tombeau de Thèbes au IIe millénaire av. JC, coque large et arrondie, avec un mât central et une voile carrée. Une autre provient d'un bas-relief assyrien du palais de Sargon II près de Ninive, et représente des barques relevées aux extrémités avec une tête de cheval comme figure de proue, mues par des rameurs. Une troisième enfin sur un autre bas-relief de Ninive, provenant du palais de Sennacherib représentant deux types de navires différents : navires de guerre à quille longue, l'étrave se terminant par un éperon effilé, en poupe deux rames flanquées de chaque côté servant de gouvernail, un mât et deux rangées superposées de rameurs ; des navires de commerce à coque renflée, les gauloi des Grecs qui les imiteront et leur donneront leur nom phénicien transcrit en grec.

Des embarcations permettant de remonter le cours des fleuves donc, ainsi que le cabotage, auquel les phéniciens ne se limitèrent pas. Ils n'hésitèrent pas à affronter la haute mer ; la boussole n'existant pas alors, leurs pilotes se repéraient grâce à la Petite Ourse, que les Grecs appelaient précisément « la Phénicienne », ce qui prouve qu'ils pratiquaient la navigation nocturne.

Les améliorations de leurs vaisseaux et des techniques de navigation leur permirent, entre les XIIe et VIIIe siècles av. JC, de prendre une nette avance sur leurs rivaux. Ils assurèrent l'étanchéité de leurs embarcations grâce au bitume pour le calfatage, ce qui permit sans doute aux anciens de parler des « noirs vaisseaux » phéniciens. Renforçant la carène par une carlingue, ils obtinrent des vaisseaux plus longs, plus rapides et de plus gros tonnage, mieux adaptés aux navigations lointaines, et à la navigation hautière, leur permettant d'utiliser les vents et les courants. C'est ce qui leur assura la découverte des routes maritimes et la maîtrise de la mer, secrets que durant des siècles ils gardèrent jalousement.

Outre la fondation de leurs célèbres comptoirs tel Carthage, on leur prête, non à tort, ainsi qu'à leurs successeurs Carthaginois, de lointaines navigations, voyages de découverte et d'exploration au-delà du monde connu dans l'Antiquité

.Les galères de guerres Phéniciennes n’ont laissé aucune épave, car tout comme l’immense majorité des galères antiques leur coefficient de flottabilité restait positif. En revanche, des bas-reliefs nous renseignent dans une certaine mesure, puisque les graveurs n’étaient pas des marins, et que ces témoignages lithographiques doivent êtres pris avec une certaine distance, et un oeil de charpentier naval, ce qui laisse donc une part importante de réinterprétation. Une conformation apte à la vitesse au détriment de la place à bord pour les combattants, fut résolue par l’innovation, reprise par les Grecs, de la galerie au-dessus de la passerelle.

                  La Dière fut une révolution dans le domaine naval. Bien qu'introduite pour la première fois par lesPhéniciens et assyriens au VIIIe siècle avant J.C., qui en avaient incontestablement la paternité, les galères de guerre étaient systématiquement des monères ( -ou monorèmes- un seul rang de rames.). Les flottes comptaient ainsi sur des cisocontères et tricontères, deux siècles avant l'invention de la Pentecontère. Globalement, la Dière Grecque n'apparaît qu'un siècle plus tard. Elle fut

vraisemblablement Introduite par un constructeur naval Corinthien, engagé par Ameinoclès, qui observait l'efficacité des modèles Phéniciens. Elle se base sur deux rangs de 12 rameurs par bordée, ce qui représente un total de 48 rameurs, soit un peu moins que pour un pentécontore. Les Dières comptaient également un maigre équipage, composé du Diérarque ( capitaine ), de quatre

officiers de pont, d'un homme de barre, un "batteur" destiné à maintenir la cadence de nage, et quatre marins pour manoeuvrer, entre autres, la voilure. Il y avait en sus quatre ou six hoplites et deux archers, selon les choix tactiques adoptés. L'efficacité de la Dière à l'éperonnage était déjà plus convaincant que pour les modèles assyriens et Phéniciens plus petits et légers.

La Dière Grecque en effet est relativement massive, profonde et large. Avec une cale généreuse (probablement largement pourvu d'amphores de viande salée et de sacs de peau tendues remplies d'eau douce ), une longueur moyenne de 31 mètres, une largeur de 4,20 mètres, un tirant d'eau à pleine charge d'un mètre dix, et un déplacement de 75 tonnes, la Dière était d'un poids comparable,

et légèrement supérieur à la pentecontore. Cependant l'avantage d'une nage étagée permettait contrairement aux grandes monères comme le pentecontore, de gagner de la place. La longueur des

premières Dières étant donc légèrement inférieure, leur maniabilité était renforcée d'autant. par la suite, leur tonnage et leurs dimensions augmentèrent avec le nombre accru de rameurs. On oublie

aussi souvent de dire la différence fondamentale entre les Dières grecques et les birèmes Romaines développées plus tard : Leurs rameurs étaient des hommes libres, citoyens payant un droit de passage ou non, et également, autant de combattants potentiels en cas d'affrontement. être rameur sur une galère Athénienne pouvait aussi être un poste militaire tout à fait respectable, ces rameurs

étant spécifiquement formés pour le combat, avec en cas d'abordage la limite physique d'un épuisement compréhensif suite aux manoeuvres de nage rapides au combat. Les reconstitutions de Dières ont été rares, on peut citer récemment celle menée par les Ukrainiens avec leur Ivlia. Au Combat : Les Dières engagées à Salamine ( 480 av. J.C. ) possédaient vraisemblablement des

armes redoutables, comme le dauphin, largement utilisé par les Romains par la suite, un arme d'abordage, tenue par une vergue elle-même arrimée au mât, et lâchée sur le pont du navire adverse. Il s'agissait d'un poids ( du Plomb ) auquel on avait donné la forme d'une grosse pointe, afin de traverser facilement les deux à trois niveaux de bois ( la passerelle, le pont et la cale, dans le cas

des Dières ). Le but était de provoquer un importante voie d'eau, la galère de cette époque étant, rappelons-le, pratiquement insubmersible. Aussi, le feu pouvait aussi constituer une arme de choix. Aux côté des Hoplites, combattants d'élite bien armés d'armes de poing et de jet, il y avait parfois des combattants plus "légers", les épibates, qui pouvaient peu avant l'abordage, lancer sur

l'adversaire, en plus des lances, des "pots à feu", petites amphores rondes remplies de poix, et enflammées à l'aide d'un tissu, un ancêtre des bombes incendiaires duquel on se protégeait par despavois tendus de peau et imbibés d'huile. Les balistes et catapultes firent leur entrée peu après,permettant de porter la distance du combat à une centaine de mètres. Rappelons enfin que les

rameurs de ces galères étaient des volontaires qui payaient leur passage en ramant ou bien étaient enrôlés, et touchant ue solde. Ils disposaient d'un coussin enduit de graisse, qui leurs permettaient

de glisser sur leur bancs lisse, les pieds bien calés dans le banc précédent, fléchissant les jambes.

 

Cette technique leur permettait de fournir l'effort minimum pour la meilleure efficacité. De plus, les rameurs étaient propriétaires de leur coussin et de leur rame et pouvaient d'embarquer dans

n'importe quelle galère. Lorsque les Spartiates attaquèrent les Athéniens en 476 av. JC., ils franchirent à pied une langue de terre en emportant leur aviron et leur coussin. La technique de nage

complexe nécésitait un entraînement de 8 mois par an pour un rameur à plein temps...

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Ph%C3%A9niciens

 

 

 

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